Homélie du troisième Dimanche après l’Epiphanie
P. Joseph G. EID
Textes du Jour
Ep 3, 23-29 et Jn 3, 1-16
Homélie du troisième Dimanche après l’Epiphanie/0 Commentaires/dans Homélies, Sermon /par pnDLL_lyoN
P. Joseph G. EID
Textes du Jour
Ep 3, 23-29 et Jn 3, 1-16
P. Béchara Aoun
Textes du jour
Eph 6 : 10-18 ; Mc 10 : 28-31
Révérend père Joseph, chers frères et sœurs, nous sommes au deuxième dimanche du temps de l’Épiphanie. Dans ce temps liturgique le Seigneur se montre, se révèle à tous : Père, Fils, et Esprit Saint. Il ne s’agit pas d’un secret accessible uniquement à une élite.
L’Épître aux Éphésiens nous fait comprendre que Dieu est comme une station service capable de nous fournir l’énergie nécessaire pour vivre et pour tenir dans le combat face au diable et à ses manœuvres. Ce mois de janvier est riche en fêtes et événements ecclésiaux ; du 18 au 25 janvier nous prions, comme tous les ans, pour l’unité des chrétiens.
Cette année la semaine de prière pour l’unité des chrétiens a pour thème « Justice et paix s’embrassent : chemin d’unité ». Hier, 19 janvier, et jusqu’au 27, les JMJ de Panama rassemblent les jeunes du monde autour du thème : « Voici la servante du Seigneur; que tout m’advienne selon ta parole” (Lc 1,38). Le 15 janvier nous avons fêté, selon notre calendrier maronite, Notre Dame des Semences ; une fête très ancienne dans laquelle les agriculteurs, à la fin de leur travail, confient à la Vierge Marie leurs semences. Et, le 17 janvier, nous avons fêté Saint Antoine le Grand, appelé aussi Père des Moines. Prends ton énergie du Seigneur. Il n’était pas difficile de trouver le lien entre ces fêtes et événements. Pourquoi les chrétiens ne se résignent-ils pas à la fatalité, face aux divisions, aux intempéries, dans leurs combats spirituels contre le diable ? Pourquoi les jeunes chrétiens traversent les continents quand l’Église organise les JMJ ? Pour quelles raisons sommes-nous réunis ici ce dimanche ? Probablement pour puiser l’énergie dans le Seigneur.
Prends ton énergie du Seigneur comme l’ont déjà fait les saints avant toi.
Nous savons tous que Saint Antoine le Grand, par exemple, a eu beaucoup d’épreuves physiques et spirituelles et que le diable lui rendait la vie difficile et essayait de l’épuiser. Comment a-t-il fait ? Il a pris son énergie du Seigneur par la prière intense et le jeûne. A 1h30 de voiture d’ici, il est possible d’aller visiter Saint Antoine l’Abbaye où sont conservées les reliques de ce grand saint, père des moines. C’est une occasion aussi d’approfondir vos connaissances au sujet de sa vie. Pour prendre ton énergie du Seigneur, tu as besoin de le suivre. Celui qui prend l’énergie du Seigneur est capable de triompher avec le Christ. Et même la mort ne peut rien contre lui. Le Seigneur nous rend invincibles et manifeste sa gloire et sa force à travers ses enfants, malgré leurs faiblesses.
Nous vous rendons grâce, Seigneur, pour tous ceux qui se mettent à votre suite. Et particulièrement pour notre curé P. Joseph Eid, moine Antonin. Merci Seigneur pour tous les moines que vous avez envoyé au service de cette paroisse. Faites que ce qu’ils ont semé grandisse et nourrisse l’Église entière. Amen.
P. Joseph G. EID
Lectures de ce jour selon le rite latin
Cor.12 : 4-11 ; Jn 2 : 1-11
Révérends pères, chers frères et sœurs, je répète l’expression de ma joie et de ma gratitude d’être parmi vous, accompagné des fidèles de la paroisse maronite de Lyon dans le cadre de la prière pour l’unité des chrétiens. Ainsi, nous pourrons témoigner, comme le dit St Paul dans sa première lettre aux corinthiens, que les dons de la grâce sont variés, mais c’est le même Esprit, le même Dieu qui agit en tous. Et nous avons l’assurance des paroles du Christ-même, adressées à ses disciples en Mathieu 18 :
« Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis-là, au milieu d’eux ».
Cependant, le chemin vers l’unité tant souhaitable par le Christ (Que tous soient un, comme Toi, Père, Tu es en moi et moi en Toi : Jn. 17, 21) est surtout et avant tout un chemin de sanctification dans la vérité (sanctifie-les dans la vérité). Oui, le chemin vers l’unité désirée par tous les chrétiens est un chemin de sanctification dans la vérité qui requiert une conversion continue et humble de notre part, pour que nous puissions être sûrs que nous sommes vraiment réunis ‘en son nom’.
Chers amis, je profite de ma présence parmi vous pour ouvrir une petite parenthèse à propos de l’église maronite. Cette église catholique orientale est une église antiochienne de rite syrio-araméen en pleine communion avec Rome. Elle a été fondée autour des disciples de St Maroun, moine du 4ème – 5ème siècle. Les fidèles de cette communauté, traditionnellement monastique, se regroupaient autour de leur patriarche et de leurs évêques. Cela dit, j’aimerai souligner que l’histoire de ce peuple est semée de persécutions continues. Ce qui a poussé cette communauté à se réfugier d’abord au Mont-Liban, et à peupler cette région en s’ouvrant aux communautés voisines. Le siège patriarcal de la communauté maronite se trouve au Liban, considéré comme la patrie spirituelle de tous les maronites. L’enseignement des membres de cette communauté paysanne se résumait à l’enseignement catéchétique transmis par les moines et les prêtres. Ce n’est qu’avec l’influence latine, malgré les effets négatifs d’une latinisation un peu poussée, que le clergé maronite, grâce à l’école maronite de Rome, contribua à l’essor de l’enseignement au Liban. Les relations positives du patriarcat maronite avec les autres religions et confessions du pays et avec les autres grandes forces internationales, surtout la France, contribua à l’indépendance du pays.
Un petit mot sur ce passage de l’évangile de Jean que nous venons d’entendre. Remarquable texte qui traduit éloquemment la triste réalité de notre condition humaine ici sur terre. Dans la liturgie maronite, ce texte a un emplacement de choix. C’est le texte du dimanche qui vient juste avant le Lundi des Cendres (oui Lundi). L’église maronite, par ce choix, rappelle à ses fidèles que le temps de carême est à aborder dans l’esprit des noces, avec beaucoup de joie. C’est un temps où nous nous rappelons notre propre alliance. Bref, il est encore tôt pour parler du carême. Reste à dire que ce texte nous rappelle que notre passage éphémère sur terre sera marqué tôt ou tard par un manque, par la précarité, même aux moments les plus culminants de notre bonheur. Le bonheur nous manquera. Notre vie est marquée par ce manque et ce manque peut se refléter différemment selon les situations.
Dans la Bible, celui qui alerte sur le manque de vin, autrement dit sur le manque de vérité, sur le manque de justice, sur le manque d’amour, sur le manque de confiance, sur le manque de fidélité à Dieu, c’est qui ? C’est le prophète ! Et on sait bien qu’en remplissant sa mission, le prophète risque toujours de n’être pas compris, et parfois menacé dans sa vie. Marie joue aujourd’hui ce rôle prophétique au risque de se laisser réprimander par Jésus. Face à ce manque, quelle action mener ? Qui sommes-nous, au fond, pour espérer transformer l’eau en vin ? Qui sommes- nous pour espérer rencontrer Jésus et lui demander de nous aider, de combler nos manques, même si apparemment les autres ne sont pas conscients de leurs manques, et que dehors, la fête continue !
Chers frères et sœurs, gardons en nous cette espérance qui se traduit en confiance en Notre Seigneur. Comme Marie, ayons confiance que Jésus continue de transformer doucement nos vies en quelque chose de plus précieux encore que cette vie, un cheminement dans l’éternité ! Là où nous sommes pauvres, là où nous sommes nus, là où se trouvent nos manques et nos blessures, Jésus vient nous toucher. Il nous transforme secrètement. Il nous ouvre à la vie autre, parce qu’éclairée de la présence de Dieu.
P. Joseph G. EID
Évangile du jour
Lc 2 : 21
Chers frères et sœurs, il est de coutume de formuler les vœux au début de chaque nouvelle année. Je suis énormément reconnaissant vis-à-vis de ceux qui m’ont exprimé, chacun à sa manière, les beaux vœux chargés d’émotions sincères et des meilleurs des souhaits et des intentions pour 2019. Permettez-moi à mon tour de m’exprimer :
Chers amis, je vous souhaite une année 2019 riche en expériences humaines à tous les niveaux. Je vous souhaite non pas tout le bonheur du monde, mais déjà d’être contents et satisfaits, heureux de qui vous êtes, de votre personne, fille ou fils bien-aimé(e) de Notre Seigneur. Je vous souhaite une année 2019, non pas libérée de tous les soucis et de toute tristesse, mais une année au cours de laquelle augmentera en vous cette admirable capacité à vous soucier des autres et qui se manifestera davantage pour que d’autres puissent l’acquérir. Et que votre tristesse face à l’injustice et au désordre social, ou d’autres problèmes sociaux, humains et autres, soit également un rayon d’espérance pour les autres, qu’il y ait toujours espoir en l’humanité, et qu’il y ait toujours une bonne nouvelle à annoncer.
Pour ne pas trop tarder, je ferai une petite réflexion sur les textes d’aujourd’hui, surtout sur ce court évangile de ce jour, centré sur la circoncision de Jésus. Selon la loi de Moïse, loi donnée par le Seigneur lui-même à Abraham, chaque mâle du peuple élu de Dieu, devait être circoncis. La circoncision a lieu le huitième jour après la naissance. Un signe qui concrétisait son appartenance à ce peuple et qui le marquait pour la vie, le distinguant des autres hommes. Cette circoncision corporelle préfigurait la nouvelle circoncision du Nouveau Testament, non plus corporelle, mais spirituelle, celle du cœur. Quelle forme prend cette circoncision spirituelle ? Le disciple du Christ ne peut le suivre sans porter sa croix, sans une forme de don de soi. Concrètement, nous devons fuir le péché qui nuit à notre personne, mais nous devons également œuvrer pour le salut des autres, en donnant une partie de nous-mêmes. Le chrétien se distingue par cette circoncision spirituelle. C’est par elle qu’il réalise et accomplit, par la grâce sanctifiante, les promesses de son baptême.
Chers frères et sœurs, c’est en agissant selon la grâce que nous pouvons œuvrer pour le royaume, pour que se réalise sur terre, en partie, ce que nous allons vivre pleinement au Royaume. Ce n’est pas pour rien que, à l’initiative de l’église catholique, cette journée est également la journée mondiale pour la paix. Que cette nouvelle année 2019 soit, pour chacun, une année de paix et de joie profonde, extérieure et intérieure.
Que ce nouvel an, qui commence par la journée de la paix, nous rappelle qu’il n’y a pas de paix possible sans effort, sans don, sans délaisser une part de notre égoïsme, et sans ouvrir notre cœur à la grâce, pour que cette paix et ce bonheur, qui ne peuvent être réalisés et concrétisés que si nous agissons la main dans la main avec Notre Dieu, nous accompagnent tout au long de l’année et de notre vie. A Notre Seigneur la gloire pour les siècles des siècles.
P. Joseph G. EID
Lectures du 2nd dimanche après l’Épiphanie
Cor. 4, 5-15 et Jn 1, 35-42
Chers frères et sœurs, nous sommes au premier dimanche après l’épiphanie. Pour ceux d’entre vous qui suivent au quotidien les lectures du jour, vous avez sans doute remarqué que nous avons dévié de ce qui était prévu pour aujourd’hui. En effet, comme mon confrère le révérend père Béchara célébrera la semaine prochaine la St Antoine, j’ai choisi les lectures de dimanche prochain, toujours dans le cadre du temps liturgique de l’épiphanie qui s’étalera jusqu’au dimanche des noces de Cana. Cela dit, les lectures qui nous sont proposées durant tout ce temps liturgique tournent autour de l’identité de Jésus, surtout révélée durant son baptême au Jourdain, en lien avec les deux autres personnes de la Trinité.
Nous apprenons à mieux connaître Jésus-Christ, et ce qui nous est dévoilé, au fur et à mesure, nous dit quelque chose de nous-mêmes également, de notre dignité humaine, et du rapport/relation que nous sommes sensés entretenir avec Dieu et avec les autres. Dans l’évangile du premier dimanche après l’épiphanie, Jean Le Baptiste, en voyant Jésus, témoigne et proclame : Voici l’Agneau de Dieu, et il termine au verset 34 en disant :
“ Moi, j’ai vu, et je rends témoignage : c’est lui le Fils de Dieu”.
Le Baptiste voit et découvre/témoigne de la vocation de Jésus. Dans l’évangile de Jean, il y a toujours ce lien entre voir et dire, entre vue et vocation. Rappelez-vous, par exemple, la passion quand Jésus voit Marie et le disciple, et qu’il dit à Marie : voici ton Fils. Marie découvre sa vocation de mère/maman des fils bien-aimés. De même, Jésus regarde le disciple bien-aimé et il lui dit : Voici ta mère. Chaque disciple bien-aimé découvre en Marie sa maman. Ici, Jean-Baptiste voit Jésus et découvre que sa vocation est de rendre témoignage. A celui qui cherche authentiquement, à celui qui est en quête, Jésus demande, comme il le fait avec les deux disciples de l’évangile d’aujourd’hui :
« Que cherchez-vous » ?
et il nous invite : « Venez, et vous verrez ». En tant que disciples du Christ, nous sommes invités au mouvement, nous sommes appelés à sa suite. Suivre le Christ ne se limite pas à une démarche intellectuelle. Il faut accepter de se laisser mouvoir à tous les niveaux. Il faut Le suivre, il faut chercher à Le voir, à voir où Il demeure. Suivre le Christ c’est entrer en relation avec Lui en toute intimité, entrer en Sa demeure et en même temps découvrir sa vocation de témoin.
Chers frères et sœurs, Jésus pose son regard sur Simon, et il lui transmet sa nouvelle identité, sa nouvelle vocation. Il devient Pierre. En quelque sorte, notre identité de chrétien doit se laisser changer par le regard que pose le Christ sur nous. Nous qui sommes à sa suite, regardons-le méticuleusement. Acceptons le changement, le déplacement. Demeurons avec Lui. Bien-plus, soyons des témoins de la Bonne Nouvelle. A Notre Seigneur la gloire pour les siècles des siècles.
P. Joseph G. EID
Évangile du jour
Lc 3 : 15-22
L’Épiphanie, frères et sœurs en Christ, est un moment de révélation, un moment dans lequel nous réalisons quelque chose d’important à propos de Dieu et de nous-mêmes. L’épiphanie révèle que Jésus est le Sauveur de son peuple, mais également de tous les êtres humains qui ont vécu ou vivront. Jésus est aussi ton Sauveur et le mien. Et quand nous sommes sauvés, il nous arrive quelque chose : nous abandonnons notre propre agenda et commençons à vivre pour le salut des autres. Nous ne vivons plus pour nous seuls mais pour lui qui est mort et ressuscité pour nous, envoyant le Saint-Esprit de son Père comme premier cadeau à tous ceux qui croient en lui : Le Saint-Esprit à travers lequel nous ne vivons plus pour nous-mêmes mais pour lui, le Saint-Esprit, la plénitude de la grâce dans nos cœurs nous permettant d’achever l’œuvre de Jésus dans notre monde.
Aujourd’hui c’est l’Epiphanie, le baptême du Seigneur. Et aujourd’hui, chacun de nous se voit rappeler sa propre renaissance par l’eau et l’Esprit. Les quatre évangiles, chacun à sa manière, mentionnent que Jésus a été baptisé par Jean. Le baptême de Jean était différent du nôtre. Ce n’était pas un sacrement, même si c’était un pas en avant. C’était un signe extérieur de repentance. En traversant le Jourdain vers la terre promise, le peuple d’Israël exprimait le désir de repentance, de recommencer, d’être le peuple que Dieu voulait qu’il soit. Et Jésus, aujourd’hui, les rejoint. Il n’était pas un pécheur ; mais il s’identifie avec son peuple pécheur. Jésus descend dans l’eau. Il était déjà « descendu du ciel », comme le dit le credo : il ne s’agit pas d’un voyage spatial, mais de son incarnation. Maintenant, il descend encore plus loin : dans le flot boueux et tumultueux de l’histoire de l’humanité pécheresse. Bien plus, en mourant sur la croix il descend dans le royaume des morts. Il s’abaisse encore plus, voire à l’extrême. Et le Saint-Esprit « descend » sur lui aujourd’hui. Le Fils et l’Esprit, les deux mains du Père, descendent ensemble, jusqu’à nous, jusqu’à toucher le plus bas de notre humanité – afin que le Père puisse nous récupérer, nous ramasser, nous ramener dans ses bras.
C’est la révélation déconcertante d’un Dieu-Amour.
Et ce mouvement continue encore. Par notre baptême, Jésus descend à notre niveau. Il vit sa vie avec chacun de nous. Les Pères de l’Église aiment dire qu’aujourd’hui, le Christ a purifié, consacré l’eau et ainsi inauguré le sacrement du baptême. Nous pouvons élargir cet horizon. L’histoire humaine est l’eau. Nous menons des vies ordinaires, avec toutes nos failles et nos blessures. Pourtant, le Christ est à notre porte. Il vient. Il nous envoie l’Esprit. Il veut purifier notre vie et y déverser la foi, l’espérance et l’amour. Il donne, élargit et approfondit notre vie. Il remplit l’ordinaire de tous les jours de sens, de grâce et de prière. Après son baptême, Jésus prie, et le ciel s’ouvrit dit saint Luc. Il en est ainsi en nous. Les cieux sont ouverts. Et le Saint-Esprit descend et le Père dit : Tu es mon Fils/ma Fille, le bien-aimé(e) ; en toi je trouve ma joie. Chaque jour, le Père le dit à chacun de nous.
Chers frères et sœurs, ayons cette consolation. L’eau vitale du Christ coule déjà dans nos vies (pas de pubs). Qui sait ce qui attend chacun de nous cette année ? Mais ce dont nous pouvons être sûrs, c’est que Dieu est déjà là. Dieu est avec nous. Christ est en nous. Le Saint-Esprit repose sur nous. A Notre Seigneur la gloire pour les siècles des siècles.
P. Joseph G. EID Évangile du jour Mc 1, 35-45 Chers frères et sœurs, les textes de ce Dimanche nous dressent un des axes les plus importants qui devraient orienter notre carême : l’obéissance à la volonté de Dieu. Dans la lecture de la lettre aux Romains, St Paul avertit ses disciples : Il ne faut donc […]
Pourquoi la Croix ? La Croix est, aujourd’hui le même scandale, la même folie. Ce scandale nous mène à nous interroger sur notre espérance. L’espérance que nous possédons, nous devons pouvoir en parler et en rendre compte, avec des mots jaillis de l’intérieur, comme nous l’indique St Pierre dans sa première lettre. Rendre compte de notre […]